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La profondeur n’a pas de limite,
ronde et homogène comme le Tout,
elle s’éloigne d’elle-même et revient
en suivant
l’ordre parfait
de son propre rayonnement
à jamais ouvert sur l’infini
de son éternel recommencement
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De ce fait, chaque direction perçue ou dissimulée à la perception exprime la direction contraire de celle qui lui est intrinsèque, tout en étant elle-même la réversibilité de celle qui lui est contraire.
Ce phénomène d'intro-réversibilité à lieu de manière simultanée puisqu'il est ainsi constitutif de L'UN.
C'est L'UN intrinsèquement réversible.
Cette interversion de toutes les directions de l'espace est rendue possible par "l'avant" et "l'arrière" qui se contiennent réciproquement l'un l'autre. En effet, l'avant est doublé de l'arrière selon l'avant pour faire de cet arrière l'avant, et inversement, l'arrière est doublé de l'avant selon l'arrière pour faire de cet avant l'arrière ; si bien que sans que l'avant ne se confonde avec l'arrière et sans que l'arrière ne se confonde avec l'avant, l'avant devient l'arrière de l'arrière devenu l'avant en intervertissant dans la perception de l'arrière devenu l'avant les directions de l'avant.
L'inversion des directions de l'espace, grâce à la profondeur, est à l'origine de leur unification en exerçant entre elles par l'effet des contraires une attraction automatique et réciproque.
La profondeur, pour investir le cercle d'un caractère unique et indivisible pouvant faire de lui justement le cercle, intervertit simultanément les directions de son espace manifesté à la perception extérieure en leurs directions contraires et intrinsèques qui ne sont pas manifestées à cette perception extérieure.
Cette intro-réversibilité des directions de l'espace du cercle participe de l'autocréation spontanée du cercle en totalité selon une réalité non manifestée dont les qualités et l'aspect sont absolument contraires à celles de sa manifestation en rapport à la perception extérieure.
Quand la situation qui manifeste le cercle selon son "avant" quant à la perception extérieure, en fait une réalité finie et éphémère depuis ce qui commence vers ce qui finit, l'intro-réversibilité de cette situation révèle ce même cercle selon son "arrière" depuis ce qui finit vers ce qui commence en déterminant relativement à elle sa pérennisation et son infinitude.
Car "l'avant" ou le commencement relativement à la perception extérieure constitue "l'arrière" ou la fin de la situation intrinsèquement réversible à cette perception ; et "l'arrière" ou la fin relative à cette 
perception extérieure constitue "l'avant" ou le commencement de la situation intrinsèquement réversible à cette perception.
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C'est pourquoi la perception extérieure, se croyant déterminante de tout, est bien plutôt déterminée par son intro-réversibilité ; autrement dit, d'après la figure 4, le cercle de finitude manifesté à la perception extérieure n'existe comme tel que parce que cette perception extérieure constitue l'intro-réversibilité de ce même cercle par laquelle il se trouve inversement en situation d'infinitude.
C'est ici, dans la profondeur, que se trouve la clé du principe de l'intro-réversibilité qui n'écartèle plus le cercle dans toutes les directions illusoirement extérieures de son espace tridimensionnel en tentant de faire de son entité géométrique autant de morcellements ou de manifestations de lui-même qu'il y a de directions, mais qui le rend à l'homogénéité infinie de son unité parfaitement indivisible en concentrant toutes les directions de l'espace, chacune incluant son contraire, au point que toutes se trouvant ramenées à la plus complète expression de L'UN, ne puissent que se contenir les unes les autres, sans pour autant que les unes ne se confondent avec les autres et vice versa, car chaque direction n'existe que pour elle-même, à part entière, et n'agit donc dans le cercle que selon l'ordre ou le sens qui la définit.
Car d'après L'UN intrinsèquement réversible, (figure 1), c'est L'UN qui agit en chacune de ses directions en trois dimensions en intervertissant de manière simultanée la direction de leur espace intrinsèque pour être indéfiniment ramené en chacune de ses directions et de leurs réversibilités, sans sortir de lui-même.
Ainsi, le cercle, non plus écartelé ou séparé de lui-même, se trouve rendu à lui-même en totalité d'autant que ses quatre directions du haut, du bas, de la droite, et de la gauche sont doublées pour chacune par l'action spontanée de la profondeur qui leur est intrinsèquement réversible.
D'après la figure 4, chaque cercle à partir du centre correspond à une donnée (A), (B) x2, (B') x2, (A') x 4, etc... de la figure 1 dont le cercle central correspond à la donnée "A", chacune de ces données étant ramenée huit fois à elle-même par les données qui lui sont directement rattachées ; si bien que chaque cercle, selon la donnée qui lui correspond, retrace la géométrie de l'infini qui lui est intrinsèque, faisant de chaque cercle le centre de l'infini, placé en tout point ou en tout lieu de l'infini, contenant l'infini en étant lui-même la manifestation finie de l'infini,  et  éternellement fidèle 
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à lui-même ; le centre qui devient tout, contient tout, et ramène tout à lui-même, à l'infini, sans jamais cesser d'être lui-même, ni sans jamais sortir de lui-même.
Le centre est tout et se trouve partout, et tout est le centre.
En effet, c'est par les quatre directions du cercle, dont deux pour le haut et le bas, et deux pour la droite et la gauche, que la profondeur, intrinsèquement réversible à chacune ramène le cercle quatre fois à lui-même, donc quatre cercles dont deux identiques pour la hauteur (bas et haut), et deux identiques pour la largeur (droite et gauche), mais étant donné que l'intro-réversibilité de la profondeur (avant et arrière) coexistante en chacune de ses directions les double systématiquement de la direction contraire à chacune, le cercle se trouve simultanément ramené à lui-même précisément par huit fois pour chacune de ces quatre directions.
Etant donné que ces huit premières rémanences spontanées du cercle central et initial accomplissent le phénomène spontané de l'intro-réversibilité de ce cercle sans sortir de lui-même, celles-ci reproduisent indéfiniment mais de manière tout aussi simultanée le processus du déploiement spontané de l'autocréation du cercle.
C'est cette simultanéité caractéristique de l'infini qui annihile l'idée de "multiplication" de L'UN pour la remplacer par l'auto-production spontanée et indéfiniment actualisée en tout point et à tout moment de manière intrinsèquement infinie à L'UN (figure 3).
C'est pourquoi L'UN intrinsèquement réversible représenté ici par le cercle en tant qu'exemple (figure 4) est infini et caractéristique d'un mouvement perpétuel à l'avant garde de toute intervention technique et technologique.
Etant donné que le cercle d'infinitude et le cercle de finitude ne sont de l'un à l'autre qu'un unique cercle, le cercle de finitude à lieu grâce à l'interaction permanente en lui-même de l'action auto-génératrice du cercle d'infinitude.
Ainsi, le cercle de finitude (pour celui qui s'accomplit) est intrinsèquement réversible du cercle d'infinitude (pour celui qui est), le deuxième constituant l'origine (ou le commencement) éternelle et immuable du premier qui en détermine (la fin), quand simultanément et inversement, le cercle de finitude constitue l'intro-réversibilité du cercle d'infinitude.
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Si bien que le cercle, qui est double en tant qu'UN intrinsèquement réversible, de sa finitude à son infinitude et vice versa reste indéfiniment maintenu intact et peut s'autoproduire en étant pour autant ramené à lui-même grâce à l'action perpétuellement génératrice du cercle d'infinitude qui sauvegarde dans le commencement le cercle de finitude par lequel à lieu simultanément son accomplissement.
L'UN intrinsèquement réversible, démontré par le cercle figure 4 en application des figures 1, 2, et 3, et ainsi explicité, consiste expressément en l'acte de création dont l'état de pérennisation déploie indéfiniment en L'UN (pour exemple le cercle - figure 4) la multiplicité.
Car cette autoproduction du cercle en lui-même ramène ce cercle à lui-même autant de fois que l'infinitude de son intro-réversibilité le lui permet, c'est-à-dire une infinité.
L'organisation technique de cette autoproduction du cercle se comprend de la manière suivante :
(Se reporter aux figures 1 et 4) - étant donné que chacune de ces huit réversibilités du cercle exprime invariablement et simultanément le cercle en tant que "UN", c'est autant de fois cette unité qu'est le cercle qui agit de même en chacune d'elle en intervertissant les directions de leur espace à chacune, et par conséquent en actualisant indéfiniment le processus d'auto-production du cercle pour le ramener d'autant de fois selon l'expression de la réversibilité manifestée en lui.
C'est grâce à la simultanéité, caractéristique de L'UN, des actions du renversement de la profondeur en chacune des directions de la hauteur et de la largeur, ayant lieu dans ces huit résurgences systématiques du cercle dont chacune, appartenant à la réversibilité exprimée, reproduit pour elle-même et à part entière ce même processus de résurgence systématique du cercle selon sa totalité, que ce phénomène d'autocréation du cercle est simultanément infini ; ce qui remplace l'idée de multiplication à l'infini du cercle précisément par l'autoproduction du cercle spontanément et indéfiniment actualisée en tout point et à tout moment de lui-même en faisant ainsi de lui-même son absolu, son infini, et son infinité.
Si bien que L'UN, représenté par le cercle - figure 4, indéfiniment est intrinsèquement réversible, et se trouve constitué du Tout infini dont chaque expression constitue sa rémanence spontanée, quand inversement l'infinité de cette rémanence, étant constitutive de L'UN à lieu de manière simultanée.
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Ainsi se comprend l'infini, d'après L'UN intrinsèquement réversible en démonstration mathématique de la quatrième dimension, comme étant le contraire du fini, mais en retraçant à l'intérieur du fini l'organisation perceptible des directions de l'espace selon l'inverse imperceptible mais réelle de chacune en autant de fois que la spontanéité de la manifestation de l'infini peut contenir d'infini soit une infinité de fois en l'unique (figure 1 et 4).
L'infini, d'après L'UN intrinsèquement réversible, est-il spontanément constitué d'une infinité de manifestation de lui-même, chacune ramenant en lui-même, selon la réversibilité à laquelle elle appartient, cette infinité pour donner lieu tout aussi spontanément à l'infinité des infinités d'infinis en L'UN infini.
Mais en tout point et à tout moment de ces infinités d'infinités d'infinis en L'UN infini, est-ce toujours L'UN - figures 1, 3, et 4 - représenté par le cercle - figure 4 - qui s'auto-crée selon l'expression de la direction par laquelle il se manifeste.
C'est ici, en matière de cosmologie, l'explication du rayonnement cosmique qui semble surgir de "partout à la fois" et "vers toutes les directions" - Figure 3.
C'est ici encore le phénomène des résurgences illimitées et simultanées de la mémoire, comme de la cellule dont l'impression de multiplication à l'infini n'est en fait provoquée que par la perception canalisée sur l'une ou l'autre des phases de l'alternance des contraires en l'intro-réversibilité de L'UN.
En matière de cosmologie par exemple, L'UN intrinsèquement réversible qui manifeste le phénomène d'accumulation et de restitution se comprend ainsi : "la vitesse rattrape le Temps en l'accumulant en elle quand inversement et simultanément le Temps produit la vitesse par le fait même de son accumulation en elle".
Cette accumulation du Temps en lui-même qui provoque la vitesse provoque par conséquent le phénomène d'accélération du Temps lui-même. Plus le Temps s'accomplit et plus il s'accélère en s'accumulant en lui-même, ramenant par cette accélération en chaque moment donné de lui-même, tout ce qu'il contient et qui le manifeste.
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C'est ici pourquoi les galaxies s'éloignent de plus en plus vite de nous d'autant qu'elles sont plus éloignées.
Si bien que quelque soit l'instant et la vitesse donnée, "L'UN", qu'il s'agisse du Temps en matière de cosmologie, ou du cercle figure 4, ou de tout autre, est toujours égal à lui-même et de manière intrinsèque, d'un contraire "absolu" de lui-même à l'autre contraire "également absolu" qui s'interpénètrent, l'un incluant l'autre et vice versa, est-il toujours en équilibre à équidistance de lui-même. Ce qui constitue un véritable balancier de l'absolu.
Cet équilibre qui est démontré par les figures 1, 2, 3, 4, fait de L'UN intrinsèquement réversible à la fois un générateur autonome de lui-même, un condensateur ou accumulateur aux possibilités d'accumulation et de restitution illimitées, un convertisseur systématique (transformateur).
L'un intrinsèquement réversible représenté par le cercle, figure 4, s'autoproduit, depuis le centre et se restitue jusqu'à une ligne périphérique donnée de son déploiement en se ramenant lui-même d'autant qu'en chaque ligne périphérique, le déploiement du centre ramène à équidistance de lui-même ce qui est passé (donc ce qui est consommé) en contenant de manière proportionnelle ce qui est à venir (donc ce qui est à produire).
Cette résurgence accomplit en L'UN le contraire du fini c'est-à-dire l'infini qui constitue ainsi le phénomène de l'autoproduction spontanée de L'UN.
On dit que le principe produit et amplifie à l'infini L'UN, que le principe s'autoproduit à l'infini grâce à la rémanence spontanée et perpétuelle de son autoproduction.
On dit que si L'UN est fini, L'UN intrinsèquement réversible est infini.
Dans ce contexte, un mouvement lancé par exemple dans une direction donnée est rattrapé par la direction qui lui est intrinsèquement réversible et qui donc ramène simultanément l'accomplissement de ce mouvement à son commencement.
Ainsi, tandis que ce mouvement se trouve finissant, s'annihilant, dans cette direction donnée, inversement et simultanément, par l'intro-réversibilité de cette direction, il est renouvelé et sauvegardé intact.
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Le mouvement est intrinsèquement réversible, il est intrinsèquement double en sa finitude et en son infinitude, chacune incluant l'autre.
Etant donné que tout ce qui se manifeste de manière éphémère dans l'espace-temps tridimensionnel exprime relativement ces trois dimensions : hauteur, largeur, profondeur, l'intro-réversibilité de ces trois dimensions préserve intact au commencement l'espace-temps, c'est-à-dire l'univers, et tout ce qu'il contient à l'infini.
C'est ici d'après L'UN intrinsèquement réversible l'immuabilité du mouvement dit perpétuel.
Ce mouvement perpétuel ne dépend pas des différents corps qu'il utilise (par exemple, en matière d'électricité, alternateur ou dynamo et moteur électrique), mais consiste essentiellement en l'équilibre de leur potentiel énergétique.
Car le mouvement perpétuel est la force unificatrice des différentes énergies produites à partir des corps utilisés.
Si bien que ces corps utilisés se trouvent systématiquement en situation de parfaite synergie sans perdre, chacun, de leur particularité propre ni de leur indépendance les uns par rapport aux autres.
Cette harmonie ne rend pas les corps dépendants les uns des autres, car le phénomène de la dépendance ne peut avoir lieu que si il y a division des corps.
En effet, un corps séparé d'un autre, agissant pour son compte exclusif mais alimenté par l'autre corps, se trouve dans la dépendance de cet autre corps.
Or, le mouvement perpétuel s'auto-entretient par l'énergie dynamique des différents corps en action synergique pour la maintenance de l'ensemble en tant qu'unité intrinsèquement réversible.
Dans ce contexte, les corps utilisés ne sont pas dans la dépendance les uns par rapport aux autres, n'étant pas dans la division ou la séparation puisque, étant constitutifs, de manière complémentaire, d'une unité rendue indivisible grâce à son principe d'intro-réversibilité, ils ne sont pas seulement dans l'harmonie - ils sont cette harmonie elle-même.
Ce qui confère à la mémoire une dimension absolument immuable et infinie du souvenir de toute chose qui conserve intacte et ramène à leur commencement toute chose, ou sa quatrième dimension.
Ce qui confère à chaque neurone comme à chaque cellule, comme à l'Univers, comme à l'énergie, comme à toute chose, une dimension éternelle et infinie d'eux-mêmes au nombre illimité de possibilité de résurgence d'eux-mêmes, ou leur quatrième dimension.
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Ainsi, l'énergie, en l'occurrence électrique, s'accomplit-elle selon une action perpétuellement auto-génératrice.
L'organisation des directions de l'espace intrinsèque au cercle pour exemple - figure 4 - en déploie la géométrie quadridimensionnelle de l'absolu, de l'infini, de la temporalité et de l'éternité, et de l'infinité, tout à la fois  car tout en L' UN.
L'UN intrinsèquement réversible représenté par le cercle sur la figure 4 en application des figures 1, 2, et 3, rend visible dans le fini de la troisième dimension, l'infini de la quatrième dimension qui est normalement invisible pour la réalité tridimensionnelle, et défie les limites, les impossibilités, et les paradoxes de la physique actuelle comprise en tant que phénomène à trois dimensions, en constituant la force unificatrice des forces connues que sont la gravitation, la force électromagnétique, la force nucléaire forte, la force nucléaire faible. Mais plus encore, ces forces connues se révèlent-elles dépendre de L'UN intrinsèquement réversible comme étant les conséquences de la force majeure de la perception liée à celle d'unification.
En effet, ces forces connues résultent de l'alternance ininterrompue des phénomènes fondamentaux "attraction" "répulsion" entre le "commencement" manifesté par le cercle d'infinitude et la "fin" manifesté par le cercle de finitude (figure 4).
Mais ces phénomènes d'attraction et de répulsion du commencement et de la fin, indépendamment du champ de la perception dont ils tissent la texture substantielle en établissant l'origine des mouvements d'expansion et de récession, ramenés du reste aux forces centrifuge et centripète en ce qui concerne les corps en rotation, sont immuablement simultanés puisqu'ils sont intrinsèquement réversible les uns des autres pour n'être qu'UN.
C'est pourquoi, L'UN intrinsèquement réversible caractérisé précisément par la force de la perception liée à la force d'unification constitue l'origine de ces forces connues.
Parvenir ainsi à orienter l'analyse scientifique sur cette nouvelle appréhension des forces connues d'après L'UN intrinsèquement réversible, permettra par exemple en matière d'électromagnétisme le développement de la recherche sur de nouveaux dispositifs d'aimantation, en favorisant le perfectionnement des moteurs électriques, des ordinateurs, ainsi que des instruments utilisés dans les domaines de la communication, de l'aéronautique et de l'astronautique,
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de la navigation, mais aussi des accélérateurs de particules, des instruments d'observation (radiotélescopes, microscopes), des procédés de production d'énergie, etc... également, le géomagnétisme trouvera-t-il une nouvelle ouverture d'études et d'applications techniques.
Toute conception et toute amélioration de la technologie dans tous les domaines de la science et de l'industrie, consiste à procéder à partir du raisonnement fondé sur le phénomène d'inversion intrinsèque des directions de l'espace en tenant compte des lois à la fois mathématiques et techniques de la perception afin d'atteindre le perfectionnement du mouvement perpétuel.
La perception d'après la force unificatrice et quadridimensionnelle de L'UN intrinsèquement réversible ne divise pas ou ne sépare pas l'objet perçu du sujet qui perçoit mais les homogénéise dans la distance de telle manière que ce qui est perçu et qui semble exister au-dehors du sujet qui perçoit n'existe exclusivement qu'au-dedans de lui-même.
On dit "x" correspond au sujet qui perçoit c'est-à-dire au départ de la perception, et "y" correspond à l'objet perçu c'est-à-dire à l'arrivée de la perception : x ------> y.
x vers y perçu depuis x correspond dans la perception en trois dimensions à la distance devant être accomplie. Ici y consiste dans le futur de x.
Mais x vers y perçu depuis y correspond dans la perception en trois dimensions à cette même distance accomplie. C'est l'arrivée de la perception. Ici, y consiste dans le passé de x .
Donc, dans la perception en trois dimensions, un observateur placé en x considère en direction de y autant le passé que le futur.
Mais ce n'est que le passé qu'il perçoit, car son observation portée dans la direction de y , projette en y , et de manière simultanée, l'instant primordial du départ de la perception en x , en inversant ainsi la polarisation de cette direction.
x porté en y devient x' .
On dit : quand y est perçu par x depuis x , c'est x qui se perçoit lui-même par x' en y.

 
 
 



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