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communication médiatisation de 
l'oeuvre maîtresse de ma collection intitulée    
          Le Principe PAEZ :
L'UN intrinsèquement réversible   
      " le Damier de l'infini,
         le Balancier de l'Absolu,
         le Labyrinthe du Temps " 
et le caractère double de toute chose.
 

j'ai réalisé cette oeuvre sur 16 m2 de toile ( 4x4 ) afin d'appliquer  sur le cercle toutes les définitions de ma thèse métaphysique et de sa mathématique. 
Chaque courbe et chaque segment de la géométrie applique la formule algébrique qui lui correspond. Cette mathématique s'organise seulement avec deux données : X ou Y,  qui signifient Alpha et Oméga, ou le Commencement et la Fin. Chaque couleur correspond à une formule.

J'ai peint cette géométrie de sorte qu'elle puisse être observée sous trois éclairages différents.
 - à l'éclairage normal du jour, ou électrique, la géométrie laisse apparaître l'unicité de ses déploiements. La force unificatrice de mon Principe est rendue accessible à l'observation ainsi que l'ensemble de ses caractéristiques.
- l'éclairage aux UV révèle la géométrie selon l'organisation du temps pour "ce qui est passé", le passé, et " ce qui est à venir", le futur. Ici, nous  voyons que le centre est tout et que tout est le Centre, ce centre qui est tout, contient tout, devient tout, et ramène tout à lui-même sans jamais cesser d'être lui-même.
-Dans l'obscurité, mais déjà à l'éclairage aux UV, le fondement de la géométrie apparaît selon les quatre directions intrinsèquement réversibles haut, bas, droite, gauche, qui forment le coeur ou le trône à la fois fondamental et universel de toute la géométrie, et qui sans cesse et systématiquement ramène à elle-même, sur la toile, la totalité infinie de cette géométrie. 

Le cercle intrinsèquement réversible est autoproductif.

Le concept du mouvement perpétuel, est peint sur mes 16m2 de toile, où le commencement et la fin sont insaisissables bien qu'ils organisent  toute la géométrie, et où la géométrie est semblable à un fil unique, infni, totalement constitué du commencement et de la fin chacun intrinsèquement réversible l'un de l'autre, chacun se lisant où se lit l'autre.

Ici, nous observons la dimension intrinsèque et infinie du cercle situé au centre, sa dimention invisible, ou imperceptible.

Cette homogénéité intrinsèque du cercle consiste en sa force unificatrice.
Les cercles se renversent dans toutes les directions de l'espace selon le principe de l'introréversibilité de chacune, sans jamais cesser d'être le cercle unique du centre, et constituant la substance de ce cercle unique du centre.

on dit : Rien ne sort de L'UN,
et si UN est fini, L'UN intrinsèquement réversible est infini.

De même, le cercle, qui est dessiné au centre, est fini, mais sa réalité intrinsèquement réversible, ou contraire, ou opposée qui se déploie sur la toile est infinie.
C'est pourquoi le cercle, bien que UN, est double puisque fini d'une part, et infini d'autre part par son introréversibilité. 
Le cercle est le Centre à la fois fini, infini et infiniment multiple en lui-même selon les directions de son espace intrinsèque qui s'intervertissent, chaque direction contenant la direction qui lui est contraire ou opposée.
Quand nous dessinons un cercle, ce cercle que nous voyons indépendamment de sa dimension intrinsèque, n'existe tel que nous le voyons que dans notre perception déformée, déviée de la plénitude de sa réalité au sein de notre conscience..
Le cercle que nous voyons n'est pas réel en ce sens qu'il est incomplet ou partiel,. Cette observation du cercle est faussée et appartient à la dimension qui divise, sépare, néantise, de l'infiniment petit de notre perception, tandis que sa dimension intrinsèquement réversible et complète, réelle, transcende la perception dans l'ouverture consciente de l'infiniment grand et de sa plénitude homogène, indivisible.
Mais ici ce sont les phénomènes du souvenir et de l'oubli qui se dévoilent sur la toile, entre infiniment petit et infiniment grand, à chaque intersection double et inversée "commencement et fin" de la perception qui ouvre la conscience sur sa propre nature substantielle qui est la Mémoire une et indivisible.
La dimension intrinsèquement réversible du cercle consiste dans la Mémoire même du cercle. Ainsi, quand ce cercle unique, qui est partout sur la toile, déploie son omniprésence infinie, c'est l'omniprésence infinie de la mémoie que l'on observe.
Mais ce qui d'abord saisi notre regard, c'est l'équilibre parfaitement harmonieux de la géométrie. Cet équilibre ne se limite pas au cercle central, limité, mais c'est la géométrie en sa totalité qui constitue le centre un et indivisible du cercle central, puisqu'elle ouvre ce cercle et se déploie en lui, en sa matière ronde et limitée en intervertissant de manière égale et proportionnelle toutes les directions de son espace intrinsèque, de sorte que toute la géométrie est le centre et que l'équilibre est celui de la géométrie en sa totalité, l'équilibre de l'infini, de l'infinitude intrinsèque du cercle. 


Je ne pouvais pas réaliser cette géométrie de l'infni sur une toile de format illimité, aussi l'ai-je éléborée sur une toile de 4 mètres par 4  afin toutefois de rendre accessible à l'observation et à l'entendement cette compréhension inédite de l'infini immergée dans la mathématique de L'un intrinsèquement réversible.

Ici, je démontre l'organisation du présent, du passé et du futur du cercle et nous pénétrons à la fois l'éternité, l'infinitude et l'indéfinitude du cercle déterminés par l'ordre universel de leur continuité et de leur discontinuité.

Par le fait même de l'élaboration intrinsèque du cercle, ce cercle contient toutes les formes géométriques existantes.
Mais son analyse nous transporte encore plus loin, dans des explications que je vous révèlerai plus tard.

Comme pour le cercle que j'ai choisi pour exemple, TOUT est L'UN intrinsèquement réversible, Tout et tous,  d'un microzymas à la cellule et de la cellule à L'Univers, et toi qui me lis!... Et dès lors nous pressentons combien tout est vivant ! Même une pierre entre nos doigts vit de la Mémoire universelle, une et indivisible, qui l'emplit.

(dans le menu, se référer au Principe PÄEZ partie 1 et les suivantes)

                                                      
La même oeuvre sous un éclairage UV spécialement adapté  avec le fondement de la géométrie qui prédomine  dès le centre en suivant les directions médianes, et en éclairant le losange dans l'introréversibilité du cercle pour  "ce qui est accompli, le passé," tandis que la partie plus assombrie exprime "ce qui sera, le futur"        

 
 



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